Les précurseurs

Auguste Bonaz (1877-1922)

Un travail prestigieux, encore reconnu, la qualité et la perfection qui marquent une époque. Une signature recherchée sur bien des articles fabriqués par Auguste BONAZ. La marque indélébile d’un travail extraordinaire et encore si moderniste actuellement.

La fabrique fut fondée à la fin du 19ème siècle. Au début le travail de la corne, puis avec l’invention du celluloïd une grande possibilité créative et de réalisation...

Auguste Bonaz fait son apprentissage dans l’atelier de son père César Bonaz. Il en prend la direction en 1900, secondé par sa femme Marguerite. Pendant la guerre 1914/1918 il sera mobilisé, et c’est elle qui assumera la responsabilité de la maison pendant son absence.

Artisan du peigne d’ornement très à la mode à cette époque, la découverte de nouvelles matières « Celluloïd et Galalithe» permettra le développement de cette entreprise.

En 1922, à la mort d’Auguste Bonaz, sa femme prendra la direction de l’usine. Elle continuera la création des peignes, mais c'est elle aussi qui créera ces bijoux en Galalithe : colliers, boucles d’oreilles, broches, bracelets, si représentatifs des années 1930, ainsi que de magnifique boîtes en tabletterie. Elle décédera en 1927.

Il reste de cette production des créations qui marquent cette période, et qui ont permis a certains dont je fais partie - de découvrir une matière et d’avoir au travers elle la possibilité d’exprimer leur créativité.

Voir aussi : Jakob Bengel

Bijoux Bonaz 1

Bijoux A.Bonaz

Bijoux Bonaz 2

Bijoux A.Bonaz

Peignes Bonaz

Peignes A.Bonaz

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